Cours gratuit de comptabilité
Le droit de la fonction publique est un élément essentiel du droit administratif français.
Il existe deux principaux domaines d’activité dans l’administration française: la police administrative et de l’activité de prestation de services.
La police administrative est de prendre les mesures nécessaires pour maintenir ou rétablir l’ordre public, c’est-à-dire la paix, la sécurité, la sécurité publique, la moralité publique (loi de 1959), et le respect de la personne humaine (CE 1995 ‘Morsang sur orge commune’ ce cas n’a jamais été renouvelé, il reste une exception).
L’activité de prestation de services, y compris l’administration des services publics (SPA) et les services public industriel et commercial (SPIC).
Une activité est un service public quand elle est assurée ou détenus par une entité publique pour l’intérêt public. Il s’agit d’une activité d’intérêt géré par une personne publique ou sous son contrôle par une personne privée et soumis à des degrés divers selon le type de service, administratives but law.The de l’activité de service public est l’intérêt public, cette activité doit être attaché à une entité publique.
La notion de service public est un concept fondamental en droit administratif français.Elle a également contribué à la première moitié du XXe siècle, pour construire ce droit. Dans la seconde moitié, il a été officiellement admis que les activités de service public peuvent être effectuées par des personnes privées, ce qui favorise le sens fonctionnel.
Le régime juridique des services publics
Les communes à tous les services publics: les lois de la Hollande
Les principes de continuité et de mutabilité
En principe, un utilitaire doit fonctionner continuellement et régulièrement, sans autres interruptions que celles prévues par la réglementation en vigueur. Ce principe a valeur constitutionnelle. En effet, parce que le public reconnaît son importance particulière, socialement, un service est considéré comme appartenant à la catégorie des services.It public répond à un besoin essentiel qui doit être satisfaite à tout moment. Il contredit le droit de grève, un autre principe constitutionnel, cette situation conduit à une importante controverse au sujet du service minimum.
L’adaptabilité ou mutabilité du service est la condition nécessaire de surveiller l’évolution des besoins d’intérêt général. Cette condition justifie les changements qui se produisent régulièrement dans les services publics, qui doivent s’adapter à la fois les progrès technologiques et l’évolution de la demande sociale.Cela implique qu’aucun obstacle juridique devrait s’opposer aux changements à venir.
Ainsi, l’administration peut toujours apporter des modifications au contrat de délégation de service public de manière unilatérale. Les utilisateurs du service n’ont pas intérêt à maintenir, ou sa modification lorsque le besoin pour le service n’existe plus. Le personnel de service public ne peut pas s’opposer au nom des droits acquis à transférer le service.Control du juge administratif s’attaquera à la réalité de l’évolution d’intérêt général (sauf si requis par la loi).
Les principes d’égalité et de neutralité
Egalité de traitement: pas de discrimination entre les utilisateurs est exclu dans les deux accès au service en cours d’utilisation. Il s’agit d’une extension du principe de l’égalité devant la loi établie dans la Déclaration universelle des droits de l’homme. De ce principe découle de la péréquation qui fait les secteurs les moins rentables sont financés par les plus rentables. Exemples: Poste pratique les mêmes prix partout au pays afin que les zones rurales induisent un coût plus élevé dans la distribution du courrier, un abonné à l’électricité ou le téléphone paie le même prix quel que soit son emplacement. Péréquation déconnecte le coût du prix, il permet de continuer ce que une planification objective.
Le Conseil constitutionnel a toutefois été établi que le principe d’égalité ne s’oppose pas à la règle législateur différemment à des situations différentes.
Il ne peut être dérogé au principe de l’égalité. Pour des raisons d’intérêt général et en conformité avec la loi, les différences de traitement sont possibles, mais ne doit en aucun cas être arbitraire ou discriminatoire. L’instrument de mesure est la proportionnalité entre les moyens et les objectifs.
Le service public doit être guidé par l’intérêt général, sans être influencées par des intérêts privés, y compris ceux du gérant. Ce principe est particulièrement important pour la communication audiovisuelle ou de l’éducation afin d’éviter la propagande.
La neutralité est une composante de la notion plus large de ce qu’est un Etat laïque. Il est interprété comme une obligation et il pèse sur l’administration ou la personne. Il peut donc être considérée comme une obligation qui s’applique à tous les fonctionnaires qui sont interdits d’exprimer leurs opinions politiques ou religieuses dans l’exercice de leurs duties.But il peut aussi être une exigence pour l’administration, par exemple, sur la nécessaire neutralité de l’enseignement , qui est obligatoire pour les programmes et les enseignants.À cet égard, les enseignants dans l’enseignement supérieur, l’université soit, ont une grande liberté d’expression régulée par certaines limitations, comme négation de l’Holocauste.
Enfin, il peut être un droit revendiqué par le citoyen ou le citoyen contre son administration. suit donc la neutralité de l’Etat et le principe du service public de l’égalité d’accès aux emplois publics.
Comme le champ d’application de la neutralité imposée à tous les bâtiments publics. Toutefois, ce principe n’empêche pas l’expression libre des citoyens au sein des bâtiments publics pour lesquels ils sont les utilisateurs, en particulier dans l’enseignement public.
Il est indiqué dans l’article 1 de la constitution de 1958.
Dans l’affaire dite «du foulard islamique’ L’avis du Conseil d’Etat du 27 Novembre 1989 a été demandé par le ministre de l’Education nationale de l’époque Lionel Jospin la suite de la frénésie médiatique autour d’un cas d’exclusion d’élèves sur le terrain qu ‘«ils portait le voile. Le Conseil d’Etat donne son interprétation, alors considérée comme la laïcité libérale dans l’enseignement public, il a surpris par la liberté religieuse accordée aux étudiants en vertu de laquelle il réglemente.La loi du 15 Mars, 2004 a été adopté suite à une nouvelle frénésie des médias vise à briser la loi en légalisant expulsions fondées sur la mise en place d’un règlement intérieur qui interdisent le port du voile. Auparavant, de tels arrangements ont été censurés au cas par cas par le Conseil d’Etat.
La laïcité est également requis pour l’administration du personnel en général, pour équilibrer l’expression de sa foi ou ses opinions politiques dans l’exercice de leur mission. Le cas est plus grave pour les événements qui se transforme en service pour les absences pour reasons.Regarding religieuses du personnel enseignant des écoles et des collèges, ils ont l’obligation de ne pas exprimer leur religion. Ce comportement est considéré comme une faute personnelle de l’employé dont la gravité sera évaluée sur la base de plus ou moins de prosélytisme.
Lorsque, en raison des circonstances, des erreurs ou de fraude, un citoyen est privé d’un service auquel il avait droit, l’indemnité à laquelle il peut prétendre n’est pas fondée sur l’utilité du retrait du service (par exemple: la valeur d’un de fabrication autorisés par l’alimentation), mais seulement le coût de production du service. Free n’est pas un principe. C’est même une exception rare, même si la subvention du service par d’autres sources de financement est très répandu:les services ne sont pas libres, mais une partie n’est pas payée directement par le bénéficiaire, mais les taxes et redevances. Plus généralement, si le service est légalement tenu, les services devraient être gratuits, sauf indication contraire par la loi.
L’administration est nécessaire pour faire fonctionner correctement le utilities.There est toutefois aucune obligation pour l’administration de créer un service public, sauf si la loi en décide ainsi (par exemple les services publics obligatoires pour les collectivités locales). L’utilisateur dispose également d’un droit d’accès au service public.
Les régimes juridiques de la SPA et SPIC
PPS sont soumis au droit administratif, le régime de la CIPS est mixte privé / droit public.
Le régime juridique des SPA
Il est généralement en droit administratif. Les personnes publiques, toutefois, l’utilisation dans la gestion des processus SPA de droit privé (contrats de droit privé). Les individus peuvent gérer SPA.
L’utilisateur n’est normalement pas dans une situation contractuelle avec le SPA, il est dans un cadre juridique et réglementaire. Cet utilisateur n’a pas le droit d’organiser les conditions de fonctionnement du service public, mais il a un droit d’accès à la fonction publique, un droit à un traitement égal et un droit à un bon fonctionnement du service public.
Si le SPA est géré par un personnage public, ce qui unilatérale grief décisions peuvent être contestées devant le tribunal par voie d’appel d’abus de pouvoir. Une personne qui exploite un SPA privé peut être donné un pouvoir de décision unilatérale par la personne qui a délégué la mission et sous son contrôle: l’utilisation éventuelle ne peut être intentée devant le tribunal.
Si le SPA est géré par une personne publique, la responsabilité administrative s’applique, le juge administratif est compétent.
Si le SPA est géré par une personne privée tous les dommages causés à être couverts par les tribunaux ordinaires moins que le dommage est lié à l’utilisation de la prérogative de puissance publique
ABP contrats sont des contrats administratifs, à condition qu’ils remplissent les critères et la matière organique.
Le critère organique doit être géré par un organisme public ou au nom et pour le compte d’un public ou une personne privée expressément autorisées par la personne qui délègue public.
Berkani depuis l’arrêt en 1996, tout le personnel travaillant pour un spa géré par une société de droit public sont des fonctionnaires publics (les litiges sont de la compétence des juridictions administratives), sauf dans les cas prévus par la loi (certains contrats particulièrement utile, et certains emplois de l’Assemblée nationale l’assurance-santé ou l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé par exemple).
Le régime juridique des SPIC
La jurisprudence considère depuis le début des années 1920 que le CIPS sont soumis à un système mixte combinant des éléments de droit privé justifiée par l’entreprise et des éléments de droit public justifiée par le but de service public.
La part du droit public n’est pas négligeable en particulier dans l’organisation du service. Ainsi, le CIPS est soumis aux principes généraux des services publics (continuité, adaptabilité et l’égalité), peuvent utiliser les procédures de droit public (régime public de travaux, …), expropriation peut conclure des contrats administratifs.
L’utilisateur d’un CIPS est encore dans une situation contractuelle avec le différend CIPS.The sera ensuite amené devant le juge judiciaire. La qualité de l’utilisateur n’est pas nécessairement liée à l’existence d’un contrat. Il suffit de profiter l’utilisateur de services à prendre en considération. Le juge est également reconnu la compétence judiciaire pour les litiges impliquant les usagers des candidats.
Il reste une exception si le différend est dû à une blessure par un ouvrage public utilisé par le SPIC. travaux publics: tous les biens mobiliers et immobiliers d’un service public.
En effet, la loi du 28 pluviôse an VIII est neutralisée lorsque les dommages aux ouvrages publics ou liés à un ouvrage public est soutenue par un utilisateur d’un SPIC. Mais cela ne vaut que dans les cas où la victime est l’utilisateur de services et non seulement des livres. Si ce n’est pas le cas, la victime de la structure est alors considéré comme un tiers par rapport au service et doit s’appliquer à la juridiction administrative.
SPIC si elle est gérée par une personne publique, afin qu’il puisse prendre des décisions unilatérales en ce qui concerne les utilisateurs et les agents.SPIC si elle est gérée par une personne privée, ce n’est pas possible contre les utilisateurs. Mais les décisions unilatérales sont autorisés à les officiers si elle concerne l’organisation du service et si la décision est de nature réglementaire et non pas sur des questions individuelles.
Lorsqu’un préjudice est causé à un utilisateur quel que soit le gestionnaire de l’individu, il relève du droit privé et donc la responsabilité, même si le dommage a été causé par un ouvrage public utilisé par le service. Le juge fait la distinction entre l’utilisateur de la CIPS (privé) et les utilisateurs de l’ouvrage public (TA).
Les critères appliqués aux matériaux organiques et CIPS de la même manière que pour la SPA. Bien que la plupart des contrats sont SPIC droit privé, un CIPS peut parfois passer un contrat administratif.
Le contrat de l’autorisation de gérer un service public
Convention de délégation de service public
La notion de service public convention de délégation (PSA) a été officialisée par le législateur pour déterminer le régime juridique applicable à la procédure d’attribution par le biais du contrat avec les personnes publiques ou privées aux missions de service public. Il s’agit de la «loi Sapin», du nom du ministre de l’Economie de l’époque qui avait déposé le projet de loi au Parlement, qui a établi le régime juridique et la notion de délégation de service public. Depuis plusieurs années, il n’y a pas de définition légale de la notion de délégation de service public, le juge administratif a essayé de définir ce terme pour identifier le régime applicable au contrat par une entité publique.
Le risque encouru par un public qui a choisi de porter atteinte à l’un de ces procédures au lieu de l’autre a été l’annulation de la procédure d’attribution du contrat ou de la nullité du contrat et, le cas échéant, les conséquences des dommages liés à l’implication de la responsabilité contractuelle de l’ entité publique.Ces risques ont été légèrement réduite en raison de l’imposition d’une procédure de référé précontractuel devant le juge administratif par la loi du 8 Février 1995: «En cas de violation de la publicité légale et d’appel d’offres qui est soumis à la passation des marchés publics et accords de délégation de service public, le juge peut être saisi avant la conclusion du contrat par les candidats pour l’attribution du contrat ou le préfet. Il peut ordonner que l’auteur de se conformer à ses obligations et suspendre l’attribution du contrat ou l’exécution de toute décision s’y rapportant. Il peut également annuler ces décisions et supprimer les clauses ou conditions d’inscription dans le contrat et ne pas tenir compte de ces obligations. Il peut ordonner à l’autorité contractante de différer la signature du contrat. ‘
L’incertitude de la qualification de choix pour le contrat a été résolu par le Conseil d’Etat dans un arrêt du 15 avril 1996, «Préfet de contre Bouches-du-Rhône commune de Lambesc. Aux fins de la présente décision, une délégation de service public est un accord dans lequel les gains de l’autre partie est sensiblement fournis par les résultats d’exploitation. Dans le cas contraire, le contrat est soumis au code des marchés publics.
Le législateur a confirmé cette définition.L’article 3 de la loi ‘MURCEF (Mesures urgentes pour des raisons économiques et financières) du 11 Décembre 2001 modifie l’article 38 de la Loi du 29 Janvier 1993 et l’article L. 1411-1 du Code général des collectivités locales par l’insertion, avant la première aliénation de ces dispositions, le paragraphe suivant: «Une délégation de service public est un contrat par lequel une personne morale de droit public confie la gestion de sa fonction publique a délégué ses responsabilités à un organisme public ou privé, dont la rémunération est substantiellement liée aux résultats de l’exécution du service. Un délégué peut être chargé de travaux de construction ou d’acquérir des biens nécessaires au service. ‘
Toutefois, l’alternative de choix dans le pré qualification du contrat n’a pas disparu. La loi donne une indication. Les tribunaux ont interprété de manière large la définition. Ils estiment que même si seulement 10% de la rémunération d’un délégué à partir des résultats des opérations, le contrat est un DSP étant donné l’existence de risques d’exploitation spécifiques à l’activité exercée par le partenaire contractuel de l’entité publique. En d’autres termes, le mot choisi par le Conseil d’Etat en 1996 et le législateur en 2001 est «substantiellement», ou, de manière significative, ce n’est pas une majorité.
Concession de service public
Une autorité publique (permis) confie par contrat pour une durée déterminée (souvent longue) l’exécution d’un service public à une tierce personne souvent entité privée ou publique (le concessionnaire). Le concessionnaire doit mettre en place toutes les installations, les équipements nécessaires au fonctionnement du service public (distribution de l’eau par exemple). Le concessionnaire est compensée par une charge sur les utilisateurs, elle assume les pertes dans l’activité. À la fin du contrat de concession, toute personne ne retourne au public (par exemple, les autoroutes, tunnels).
Contrat de location
L’agriculteur ne pas construire les installations et services qui sont mis à disposition par l’entité publique qu’elle loue. Le locataire paie une partie de la taxe à la personne publique, par exemple des installations de location, (voir l’eau).
Convention de base-plus
Le commissaire est payé par le public sur la base des résultats du service. Le gestionnaire gère le service au nom de la personne qui délègue public, il est en quelque sorte représentant.
gestionnaires Convention
Ce type de contrat est maintenant considéré comme un marché public pour un arrêt du Conseil d’Etat en 1998.
L’objectif des conventions de délégation de service public
Puis un délégué?La circulaire du 7 août 1987, après que l’avis du Conseil d’Etat du 7 Octobre 1986 définit le champ d’application de la gestion déléguée. Tous les SPIC peut être déléguée. La SPA peut être déléguée, hormis celles qui par nature ne peut pas être la police, la justice, la défense ou qui ne peuvent pas être contre un texte (loi ou règlement).
Modes de gestion des services publics
La gestion directe ou de la gouvernance
Dans le cas de l’autorité, la personne qui a créé le service public lui-même assure directement. Le gouvernement de l’État ou locale assure le service avec budget, personnel, du matériel propre. La gestion directe est le mode traditionnel de gestion des services publics en particulier pour les SPA, en particulier en ce qui concerne le pouvoir judiciaire, de police, de la défense.
Géré
Service de gestion est déléguée est assurée par un autre public que celui créé (public) ou par une association privée person.The des particuliers à des missions de service public a considérablement augmenté dans la seconde moitié du XXe siècle. Ainsi, l’Etat s’est acquitté de certains services financiers précédemment financés par l’impôt public en les remettant à une personne privée. La gestion privée est également plus souple.En combinant le secteur privé, l’Etat évite l’accusation d’être tentaculaire et atteintes à la liberté. La délégation ne peut avoir lieu de deux manières:
Dans le cas de la délégation unilatérale, une loi, décret, arrêté, une lettre informe la délégation d’une mission de service public à une association par exemple. La méthode de la délégation est souvent la reconnaissance unilatérale d’une situation ou un fait survient après des négociations préalables à la décision. Cette méthode de répartition des services publics à des particuliers est reconnu par le Conseil d’Etat. Délégués à ce mode de missions de service public confiée à des associations professionnelles, les fédérations sportives …
L’institution publique
L’Etat ou une collectivité locale confie la gestion d’une mission de service public à une institution autonome spécialement créée à cet effet. L’établissement public doté de la personnalité juridique: elle peut contracter, acquérir des biens, ester en justice, accorder des droits et obligations, il a son propre budget, de personnel, l’autonomie de gestion, la liberté de décision. La tutelle est exercée par la créativité du public.
Un caractère public administratif est entièrement soumis aux règles du droit public (mesures administratives, le statut des fonctionnaires, des biens publics, comptabilité publique, les pouvoirs publics).L’EPA maintient un APS, par exemple: l’administration des hôpitaux universitaires.
Une des préoccupations du public industriel et commercial d’une activité commerciale que le public considère comme un service public et les secteurs commerciaux. Par exemple: la Cité des sciences, SNCF, EDF-GDF ou des bureaux de plus de touriste (statut requis pour les offices de tourisme des communautés locales) de son système juridique est mixte, avec les règles de la coexistence du droit public et droit privé.. En général, le statut d’EPIC (créer, supprimer, organiser, contrôler, la puissance publique) est de droit public, son activité (relations personnelles avec les fournisseurs, clients) de droit privé.
Le texte établit une institution publique peuvent bénéficier d’EPIC quand il se révèle être un APE. Le juge administratif requalifie la propriété si le texte est de nature réglementaire et des arcs si c’est une loi.
Parfois, le terme «institution publique face inversée» pour une institution publique décrite par le texte qui introduit l’EPIC et se révèle être un APE, ou vice versa.
Certaines institutions de combiner les activités administratives et commerciales. C’est ce qu’on appelle un «visage double institution publique»: un établissement public qui prend les caractéristiques de l’EPIC par l’EPA ou de ses activités.Les différends relatifs à l’activité industrielle et commerciale de droit privé, les litiges concernant l’activité administrative de droit public. Exemples: les Chambres de Commerce et d’Industrie, Forest National.
Création, suppression et l’organisation publique
Le Parlement a la compétence des autorités administratives et
Compétences dans la création
Traditionnellement, le Parlement avait le pouvoir exclusif de créer des services publics. Avec la Constitution de 1958, la création de la fonction publique ne figure pas dans la liste des questions réservées au législateur par l’article 34. Toutefois, cet article placé sous la juridiction de la Loi sur certains services spécifiques (défense nationale, éducation, sécurité sociale). Indirectement, ce même article donne également le pouvoir législatif à l’établissement si le service est de nature à compromettre l’exercice des libertés publiques. Enfin, le législateur est compétent pour créer une catégorie d’établissements publics.
La jurisprudence du Conseil d’État considère que les autorités administratives peuvent subordonner l’activité d’octroi de licences dans les obligations de service public. Les autorités administratives de transformer ainsi indirectement une activité privée dans la fonction publique.Il est nécessaire que l’activité est soumise à un régime d’autorisation préalable et elle a un caractère d’intérêt.
Enlèvement Compétence
Le gouvernement est généralement responsable de l’élimination des services publics. Ce n’est que si l’utilitaire a été créé par la loi que le législateur devrait intervenir pour modifier ou l’abroger.
Compétence de l’organisation
Compétence des collectivités locales
Les gouvernements locaux peuvent créer des services publics, sous certaines conditions. Leur champ d’action est déterminée par la loi du 7 Janvier 1983, que la limite lorsque le champ est régie exclusivement par l’Etat ou pour protéger l’entreprise privée.
Les autorités locales ont largement utilisé cette capacité en particulier dans le domaine économique par la création d’entreprises publiques.
Les tribunaux ont limité ces créations alors que les interventions locales étaient techniquement illégale car elles faussent la libre concurrence. Cette décision a été tempéré par les dérogations accordées par les juges et les législateurs, y compris:
Différence entre la délégation de service public et du secteur public
La délégation de service public est défini par la loi MURCEF en tant que:un accord par lequel une personne publique confie à déléguer la gestion d’un service public dont il a délégué ses responsabilités à un organisme privé ou public dont la rémunération est liée de façon significative au résultat d’exploitation du service.
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