Grand livre comptable
Si le Journal est l’âme de la comptabilité, comptabilité générale, comme les comptes des matières prise, aucun intérêt.
Par curiosité, rappelons quelques faits historiques:
Paris, 1675. Savary ne parle pas seulement des extraits de livres de la Revue, c’est à dire du grand livre général, mais aussi des extraits du Journal de bord des achats, à savoir les fournisseurs Ledger.
C’est l’apparition des grands livres auxiliaires, elle était de toute évidence tenir dans le temps pour l’invention d’articles condensés dans le Journal général.
Amsterdam, 1709 (en français). Ricard préconise un système semblable à la feuille de calcul pour vérifier les rapports.
Paris 1790. Degrange invente le Journal Ledger, a appelé, pour une raison quelconque, American Journal par un Belge, Roland, 1852.
Paris 1816. Gerard décrit la feuille de calcul que nous connaissons.
Paris 1816. Quiney, recommande l’utilisation de classeurs à feuillets mobiles.
Et depuis le Big Book est souvent composée de feuilles dans un classeur, ou même simplement par la totalisation une machine comptable, ou de manière abstraite par les tableaux qui pourraient être apportées à tout moment des coups de poing sections cartes représentant de l’Écriture.
Mais peu importe le grand livre général.
Les comptes en eux-mêmes, quelle que soit sa forme et le matériau d’intérêt.
Chevallier, en 1845, note que la comptabilité est une méthode de classement.
Toute classification comporte une classification, à savoir l’existence des classes méthodiquement créés et regroupés par espèces, des genres, des familles et des ordres.
Ces classes sont les comptes, considérés ici comme des entités abstraites, des éléments d’une classification.
La classification est la classification des cartes Comptes.De nombreuses ont été proposées.
La plus ancienne est, par ailleurs, en raison de Pacioli.
Coïncidence aussi, il a un scientifique indéniable dans sa simplicité qui évoque irrésistible l’article 516 du Code civil:
‘Tous les biens sont meubles ou immeubles.’
Toutefois, Pacioli n’a pas mettre en perspective la nature des marchandises à classer, mais le plus intéressant et moderne, leur fonction économique de l’entreprise.
Il s’agit d’une caractéristique essentielle que ses successeurs ont oublié jusqu’à ce que le XXe siècle.
Elle classe les biens, tous les biens, y compris les réclamations de la propriété en deux catégories:
Et faire avancer les choses elles-mêmes afin de mobilité, en mettant à l’esprit, dit-il, ‘le plus facile à perdre.’
Cette rappelle étrangement les moyens les plus modernes de la classification des comptes, le plan comptable adopté en 1942 par la Commission de contrôle des banques en particulier.
Quatrième définition de la notion de double le domaine de l’observation dans l’espace.
Malheureusement, le ‘compte rendu complet’ (l’heureuse expression de M. Albert Smith) a souhaité que Pacioli, qui visait à inclure tous les biens, qu’ils soient privés, commerciaux, ne devrait pas prévaloir.
comptable observation sur le terrain n’ont pas compris au début, à la douzième siècle, les mouvements de créances et dettes commerciales:
Comptes pas inclus dans les comptes correspondants ou troisième.
Ensuite, le champ de vision s’élargit. Il englobe également les biens immobiliers sur le marché. Troisième vérificateur des comptes sont les valeurs ajoutées. Et, dans l’opposition de ces deux groupes de comptes, certains auteurs, à ce jour, la revendication de voir le principe de la double entrée. Ceci est juste une extension de la couverture, et non pas un changement dans la méthode d’observation. De nombreux auteurs ont triché, y compris les granges, qui a été la base de sa classification des comptes.
Jusqu’à la fin du XIXe siècle, toutes les classifications proposées reflètent cette opposition, à juste titre, ignorée par Pacioli, le compte de tiers et des comptes-titres.
Les principales sont que des granges De la fin du IIIe siècle, qui semble ne pas faire quelque chose de nouveau sur ce point dessins sont arrivés avant lui, et que des Léautey Guilbault et à la fin du XIXe siècle, plus détaillé, plus précis mais toujours en fonction sur cette erreur fatale.
Gabriel Faure, vers 1905, propose une autre classification, radicalement différente, mais malheureusement encore assez empiriques. Il propose également de nombre de groupes et de compte, chaque groupe, les comptes eux-mêmes sur le principe de la numération décimale.
Telles étaient les principales classifications «artificiel».
E-mail: (requis)
Le livre est la collection de tous les comptes utilisés dans une entreprise qui tient sa comptabilité en partie double (classe des comptes du plan comptable de 1 à 9 et les montants correspondants).
Questions livre
Dans le système de comptabilité en partie double, chaque événement a été une entrée de journal est reportée au livre sous forme d’entrée avec un montant associé à la débiter le compte (à gauche du compte) et un autre compte au crédit (à droite). Le grand livre des comptes individuels sous la forme d’un ‘T’ au-dessus de la barre supérieure du T, il doit porter le numéro de la comptabilité interne et le nom du compte. Sur la gauche ci-dessous les opérations de débit font partie de la journée, un sous l’autre dans l’ordre chronologique, à droite, les opérations de crédit, dans le même ordre. En règle générale, le compte est débité et qui reçoit le fournisseur est crédité. Rédaction stockées sur un côté d’un compte en T a toujours son homologue de l’autre côté d’un autre compte ou plusieurs comptes, si l’écriture a plusieurs vitesses ou plusieurs crédits