Méthodes comptables
Comme toutes les activités humaines, la comptabilité relève donc d’appréciations qui peuvent être plus ou moins objectives. La comptabilisation des créances, dettes et flux de trésorerie est objective. Celle des transactions faisant intervenir un jugement ou une évaluation, comme les amortissements ou les provisions, est subjective.
Afin de contenir raisonnablement les risques inhérents à toute subjectivité, des conventions sont inévitables et leur respect par les divers intervenants nécessaire pour garantir une double comparabilité des états financiers entre périodes, donc dans le temps, et entre sociétés.
Il semble que pour rendre mondiale cette comparabilité, les normalisateurs internationaux soient prêts à abandonner les particularismes nationaux. Dès lors, la bonne compréhension des grandes conventions, à l’origine des méthodes comptables, devient essentielle.
En pratique, trois grandes catégories de conventions comptables sont en vigueur : le coût amortissement, la valeur d’utilité et la valeur de marché.
Dans chaque convention, le résultat comptable de l’entreprise doit être, suivant son caractère plus ou moins aléatoire, appréhendé dans le temps avec un rythme différent. Il appartient au normalisateur comptable de définir, pour chaque catégorie d’actif ou de passif, quelle est la convention la plus appropriée, dans le respect du cadre conceptuel comptable existant.
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