La comptabilité : intégration globale / intégration proportionnelle
Le mot « intégration » signifie, dans le langage commun, « faire entrer dans un ensemble en tant que partie intégrante ». L’interprétation a donc toute sa place dans le monde de la comptabilité : comment faire pour intégrer toutes les filiales d’une société dans un ensemble homogène constituent un groupe et ayant un jeu de comptes unique ?
Les normes comptables apportent trois réponses, ou plutôt deux réponses et demie à cette question : intégration globale, intégration proportionnelle et mise en équivalence (qui ne vaut pas vraiment intégration).
Intégration globale signifie qu’on inclut dans les comptes consolidés tous les actifs et passifs, contrôlés à plus de 50 % ainsi que le résultat, qu’on les additionne et qu’on constate un passif pour la partie non détenue à 100 %, appelée intérêts minoritaires.
Dans cette méthode, les comptes consolidés supportent tous les éléments du bilan, comme si les filiales étaient détenues intégralement.
Pour justifier cette appropriation, l’intégration globale ne s’applique qu’aux entités contrôlées, ce qui est présumé pour celles détenues à plus de 50 %.
Une alternative existe si ce contrôle n’est pas unilatéral, mais conjoint. Quand des partenaires sont associés en droits et devoirs égaux et que donc chacun peut légitimement revendiquer sa quote-part d’actifs et de passifs dans la filiale ou le joint-venture, l’intégration proportionnelle est la solution comptable appropriée ; tous les actifs et passifs, produits et charges sont intégrés en quote-part.
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Une réponse pour "La comptabilité : intégration globale / intégration proportionnelle"
je vai soivoir comment la situation d’integration ce devellèpe.